Enfin cinq minutes

Elle est arrivée vendredi soir avec l’ami zub, et là, oh surprise, moi qui m’attendais à une petite chose (en référence à souris) je me retrouve face à une grande pour de vraie.

Heureusement qu’elle portait ses lunettes, sinon elle restait à la porte.

Donc me voilà entourait de deux géants, moi qui suis faible et fragile en temps ordinaire imaginez, l’enfer que j’ai passé (rire).

Comme il était un peu tard et que l’A.P. avait faim nous nous sommes mis directement à table vers les 21heures, un repas léger :

figues chaudes au chèvre et au miel, carbonnarra aux cèpes, fromage, mousse au chocolat

arrosé comme il se doit avec un soupçon de bon vin une petite discussion animée nous nous rendons comptes qu’il est 2 heures du matin.

Si certains vont au lit en sachant que le lendemain ils peuvent faire une grasse matinée, pour d’autre (plaignez moi) une dure journée de labeur s’approche.

Je couche donc la vroumette ivre……de fatigue, et m’en vais faire de même, au rage au désespoir la souris ronfle comme un sonneur, (c’est pour rire).

Je retrouve le lendemain à 14h les deux géants chez le Zub, rassurée la miss ne c’est ni perdue, ni noyée en faisant la traversée en bateau de Toulon à la Seyne .

Je tiens à saluer bien bas les qualités culinaires de l’ami zub qui en cette occasion c’est surpassé.

Nous nous sommes mis à table vers 14h15 pour un grignotage de choses si bonnes :

tartare de saumon, concombre au broncho, poisson mariné, magret de canard séché par ses soins, tartine de fromage et tomate, zarzuela (divin)

saupoudré d’un peu de Zub (vodka) et de quelques vins soigneusement choisit que nous en sommes sorties vers les 23 heures repus et heureux.

Il n’y a pas à dire autour d’un bon repas les langues se délient, et je témoignent que les nôtres ont bien fonctionnées.

Dimanche petit pique nique à l’anse Méjean, là encore le Zub à fait merveille, le soleil était au rendez vous, le farniente aussi comme vous pourrez le constater là.

Il nous fallut bien nous séparer, la vroumette repris son train après une promesse de bientôt se revoir.

Voilà un ouikende riche en matière grasse causeries diverses, j’ai rencontré une vroumette identique à son blog, du plaisir, que du plaisir.

Et vive les rencontres virtuelles qui se transforment en réalité.

A bientôt petite souris