novembre 2011

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mardi 15 novembre 2011

Egalité quand tu t'enfuis

Triste monde que celui que nous vivons.
A l'heure ou la médecine, les technologies, le progrès font des bons en avant, ON enfonce le petit avec plus de force encore.

Les banques jouent avec notre argent de manière inqualifiable et quand elles tombent emportant avec elles les espoirs de certains, l'ÉTAT beau joueur ( avec nos sous)les aide sans contre partie, mais qui aide le pauvre qui a juste besoin d'un prêt pour survivre.

Certains de nos hommes politiques sont logés royalement dans des grands appartements pour des prix modiques et pendant ce temps là certains pauvres, travailleurs honnêtes, vivent dans leur voiture par manque de moyen et ON les déloge des parkings gratuits où ils se posent pour la nuit.

Pendant que nos hommes politiques empochent des salaires, des primes astronomiques sans parler d’enveloppes discrètement mises en poche et les fameuses rétro-commissions pour des financements de campagnes, ON laisse entendre que les salariés malades abusent vraiment de trop et que la chasse est ouverte à ces vilains qui pillent le budget de l'état.

A quel moment participent-ils à l’effort demandé à la base, nos députés ont refusés une baisse de leurs indemnités, certains se sont augmentés de manière honteuse, et il nous est demandé à nous de vivre avec 1000 euros par mois voir moins bien souvent.

Pour qui ceux qui ont fait la révolution se sont-ils battu?

Pour qui ceux de 1936 se sont-ils battus?

Quand demain les peuples, osant enfin d'une même voix criez leur indignation se lèveront, vous qui nous gouvernez sans état d'âme, commencerez à trembler.

Si il doit y avoir sacrifice, que ce sacrifice soit égal pour tous.

Je suis une enfant de la République et je veux pour mon enfant et mes futurs petits enfants l'égalité, la liberté et la fraternité

lundi 7 novembre 2011

Quand l'histoire se répéte

Je voulais lui éviter cela...mais qui suis-je pour intervenir dans l'histoire des femmes.

On se dit que quoi qu'il arrive on donnera sa vie pour lui éviter toutes les souffrances, et l'on se rend compte que donner sa vie n'est que subjectif. On ne peut rien, rien de rien, et encore moins que rien.

Il parait que ce qui ne tue pas rend fort, alors oui tu seras forte.

Mais doit-on payer ce prix là?

Je n'en suis pas sûre, ce soir je souffre au plus profond de moi, je souffre de mon incapacité à n'avoir pu l'aider plus, mieux encore.

Je souffre de ne pas être auprès d'elle ce soir, tout en sachant que ma présence n'est certainement pas ce qu'elle a envi, là, maintenant.

Je souffre de sa souffrance et de rien pouvoir faire pour l'en soulager.

La vie finalement est une belle tranche de M...E, mais faut-il l'accepter pour ceux que l'on aime plus que tout.

Marche ou crève, aller de l'avant, tomber et se relever parce que je n'avais pas d'autre choix, oui pour moi.

Pour elle, j'avais inventé le meilleur toujours et avant tout.

Ce soir je pleure aussi sur ses illusions perdues de femme, l'enfance s'est envolée.

Comme j'aimerai dire adieu monde cruel et en même temps je sais bien que ce n'est pas comme cela que l'on résout les problèmes.