jeudi 28 février 2008
les vérités d'hier....ne sont pas celles d'aujourd'hui
En clair, il y a des mots que l'on jette parfois sur une feuille, ils sont la vérité du moment que l'on vit.
4.000 ans plus tard ces moments que vous pensiez vrais, vous les avez oubliés.
Ils ne correspondent plus et les choix que vous devez faire vous obligent à les sacrifier sur "l'hôtel" l'autel de l'amour.
Il y a 4.000 ans j'ai rencontré une personne, nous avons pris du temps à nous connaître, à nous renconnaître, à nous faire confiance, à nous respecter.
Une amitié est née doucement comme une fleur qui s'épanouit au doux soleil du printemps.
Nous pouvions parler de tout sans tabou, il m'a fait un très beau cadeau, il m'a offert ses mots :
N’oublie pas que je suis un fidèle, malgré les apparences… Je mets du temps à accorder ma confiance, mais ensuite, c’est quasi définitif. En général, quand j’aime quelqu’un, c’est pour la vie.
A l'époque je n'ai pas pris garde au quasi qui aujourd'hui a son importance.
La douleur ne viens pas de la trahison que je ressens, je sais qu'il a ses raisons et pas des moindres, on ne succombe pas aux succubes sans y laisser des plumes .
La douleur vient du mal qu'il s'inflige et qu'il inflige à ceux qu'ils l'aiment vraiment.
Je pense à sa solitude, je pense à tout ce qu'il s'oblige à abandonner, je pense à sa détresse.
Adieu l'ami je t'aimait bien, ma porte te reste ouverte, sans rancune.