Lilou la teigne

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vendredi 9 décembre 2011

Finalement

Je sais je me répète......je n'aime pas Noël finalement, je n'aime pas le mois de décembre non plus, je n'aime pas tout ce qui va avec.

Sauf le foi gras et les huitres sans modération.

Cette année sera pire encore....mise à part le cadeau traditionnel que je fais à mes sœurs et à ma mère, pour les autres non seulement j'ai pas d'idée mais en plus quand je vois les prix, cela me déprime encore plus.

En tout cinq petits loulou de 2mois à 12 ans seront là (les absents ayant toujours tort , par principe j'essaie de gâter que les présents), quatre branchés à fond dans les technologies nouvelles et pour moi offrir un jeu vidéo à la con ne me convient pas du tout, mais pas du tout de chez du tout.

J'ai beau me creuser la cervelle rien n'en sort, les livres laisses tomber, ILS NE LISENT PAS, les jeux éducatifs, ILS EN VEULENT PAS, j'avais bien pensé leur offrir un spectacle mais lequel pourrait convenir à tous puisqu'ils ont pas le même âge, et puis je n'imagine même pas le petit de deux mois traîné à un spectacle, non franchement ça fait pas sérieux du tout cette histoire.

Il me reste une solution extrême, la seule que j'envisage sans honte : tomber gravement malade entre le 24 midi et le 25 treize heure et zou le tour est joué.

Remarquez il y en a une seconde partir loin très loin, devenir en chemin amnésique, perdre mon passeport et ma pièce d'identité sans oublié mes petites dessous et zou aucun moyen d'être identifiée.

Oui mais bon faut pas rêver j'y serai avec ou sans paquet.

Fichu père Noël, si je l'attrape celui là, je vais lui faire passer un sale quart d'heure et lui enlever l'envie de revenir chaque année.

Non mais c'est vrai quoi, une fois tout les trois ans ce serai pas mal non, on aurait du temps pour réfléchir et trouver l'idée géniale.

mardi 15 novembre 2011

Egalité quand tu t'enfuis

Triste monde que celui que nous vivons.
A l'heure ou la médecine, les technologies, le progrès font des bons en avant, ON enfonce le petit avec plus de force encore.

Les banques jouent avec notre argent de manière inqualifiable et quand elles tombent emportant avec elles les espoirs de certains, l'ÉTAT beau joueur ( avec nos sous)les aide sans contre partie, mais qui aide le pauvre qui a juste besoin d'un prêt pour survivre.

Certains de nos hommes politiques sont logés royalement dans des grands appartements pour des prix modiques et pendant ce temps là certains pauvres, travailleurs honnêtes, vivent dans leur voiture par manque de moyen et ON les déloge des parkings gratuits où ils se posent pour la nuit.

Pendant que nos hommes politiques empochent des salaires, des primes astronomiques sans parler d’enveloppes discrètement mises en poche et les fameuses rétro-commissions pour des financements de campagnes, ON laisse entendre que les salariés malades abusent vraiment de trop et que la chasse est ouverte à ces vilains qui pillent le budget de l'état.

A quel moment participent-ils à l’effort demandé à la base, nos députés ont refusés une baisse de leurs indemnités, certains se sont augmentés de manière honteuse, et il nous est demandé à nous de vivre avec 1000 euros par mois voir moins bien souvent.

Pour qui ceux qui ont fait la révolution se sont-ils battu?

Pour qui ceux de 1936 se sont-ils battus?

Quand demain les peuples, osant enfin d'une même voix criez leur indignation se lèveront, vous qui nous gouvernez sans état d'âme, commencerez à trembler.

Si il doit y avoir sacrifice, que ce sacrifice soit égal pour tous.

Je suis une enfant de la République et je veux pour mon enfant et mes futurs petits enfants l'égalité, la liberté et la fraternité

lundi 7 novembre 2011

Quand l'histoire se répéte

Je voulais lui éviter cela...mais qui suis-je pour intervenir dans l'histoire des femmes.

On se dit que quoi qu'il arrive on donnera sa vie pour lui éviter toutes les souffrances, et l'on se rend compte que donner sa vie n'est que subjectif. On ne peut rien, rien de rien, et encore moins que rien.

Il parait que ce qui ne tue pas rend fort, alors oui tu seras forte.

Mais doit-on payer ce prix là?

Je n'en suis pas sûre, ce soir je souffre au plus profond de moi, je souffre de mon incapacité à n'avoir pu l'aider plus, mieux encore.

Je souffre de ne pas être auprès d'elle ce soir, tout en sachant que ma présence n'est certainement pas ce qu'elle a envi, là, maintenant.

Je souffre de sa souffrance et de rien pouvoir faire pour l'en soulager.

La vie finalement est une belle tranche de M...E, mais faut-il l'accepter pour ceux que l'on aime plus que tout.

Marche ou crève, aller de l'avant, tomber et se relever parce que je n'avais pas d'autre choix, oui pour moi.

Pour elle, j'avais inventé le meilleur toujours et avant tout.

Ce soir je pleure aussi sur ses illusions perdues de femme, l'enfance s'est envolée.

Comme j'aimerai dire adieu monde cruel et en même temps je sais bien que ce n'est pas comme cela que l'on résout les problèmes.

mercredi 26 octobre 2011

Emotion

Il y a comme cela des nouvelles qui vous laissent sur le cul.

des espoirs s'envolent, des espérances sont peut être là.

Amusant : des espoirs (désespoir), des espérances (désespérance).

Que faire sinon être là.

Quand on aime, on ne compte pas...et sur ce coup là je ne suis pas prête de compter.

la vie est belle c'est sûre nous ne sommes ni vieux, ni pauvres, ni dans un pays .....enfin, en faim....

dimanche 16 octobre 2011

Et.Maux.Scions

Face à mes propres émotions, je me sens bien souvent perdu.

Je les sens m'envahir, me submerger et cela me trouble profondément, je ne sais pas quoi en faire.

Le pire sont les émotions négatives, des choses que je ressens et que je vis mal sans pour autant pouvoir les exprimer.

Ces garces là me minent, je ne sais pas les formuler simplement , ma colère est plus forte et j'ai le sentiment de tomber dans un immense vide de solitude.

Mon corps est là, pas ma tête, je me fuis aussi loin que possible.

La peur de perdre les gens que j'aime m’engloutis totalement, j'ai des réactions bizarres aux choses et aux personnes.
J’agresse mais en réalité je me punis de tout ces mots enfermés en moi.

A force de tourner en rond, je m'aperçois que je reviens toujours à la même pensée, celle de vouloir être aimée à tout prix, comme je suis, avec mes faiblesses et mes forces.

Misère, misère de misère, misère de misère de misère.

On pense parfois être sortie de l’abime et l'on se rend compte qu'on le côtoie perpétuellement.
Un jeu sans fin, un jeu qui prend fin, enfin, le jour de son dernier souffle.

mercredi 14 septembre 2011

Cicatrices

Il en est des cicatrices du corps comme celle de l'esprit plus longues à se refermer.

On essaie avec plus ou moins de chance de les faire disparaitre, mais elles sont là, tapies tout au fond vous, ne demandant qu'à ressurgir.

Quand on entend parler de maltraitance envers les animaux plus ou moins nous nous sentons toucher, simplement parce que nous pensons que l'animal est sans défense, soumis à l'humain dont il dépend.

Pourtant combien de fois blessons nous un être humain, avec ou sans la conscience, de la blessure que nous infligeons bien souvent de façon gratuite.

Il me semble que plus la personne est proche de notre cercle intime, plus on peut lui faire mal, et là mercurochrome et pansements n'y feront rien.

Le temps parfois joue sont rôle de guérisseur.

Cependant je me rend compte que certaines blessures m'ont coupées l'élan d'amour, de tendresse, de confiance de l' enfance , et face à certaines situations je sens mon mur de protection se dresser, plus épais d'année en année.

Parfois je me demande si un jour je retrouverai ma spontanéité et surtout un regard plus confiant vis à vis des humains que je côtoie, qu'enfin le masque du clown tombe pour être moi tout simplement.

Ben il semble que j'ai du boulot, je suis pas sortie du lac comme qui dirait.

mercredi 24 août 2011

Partir

Il m'arrive parfois d'avoir l'envie irrésistible de partir loin, très, très loin.

Sac à dos, moto, avion, partir en laissant tout derrière moi.

Sans un regard, sans un papier, disparaitre comme cela d'un claquement de doigt, m’évanouir en quelque sorte dans la nature.

M'échapper des contraintes, des obligations, des discussions de pluies et de beaux temps qui ne mènent à rien, sinon tourner en rond.

J'ai longtemps cru que cette envie était liée à mon propre malaise d'être, cette envie incroyable d'être aimée à tout prix, mon sentiment de rejet d' une société de plus en plus égoïste et tournée exclusivement vers son nombril.

Et ben non, en ce moment je suis pas si mal que cela dans ma tête, dans mon corps, dans ma vie, j'aime et je suis aimée (enfin je le pense).

Qu'est ce qui ne tourne pas rond dans ma caboche de teigne..?

Allez savoir, l'être humain est si complexe que parfois il est sage de ne point se poser de questions et surtout de ne pas attendre d'improbable réponses.

Je suis comme je suis et n'y peux rien changer (trop tard vu mon grand âge canonique).

N'empêche j'ai très, très envie de partir loin, très loin.

vendredi 5 août 2011

Ces petits riens qui font de beaux souvenirs

- 6h30, un matin comme un autre, je grappille quelques tomates cerises sur les branches tout en regardant le levé du soleil.

- Fin de journée avec les enfants, la douche est prise, le repas ne va pas tarder, séance de massage à l'huile d'amande et de lavande. C'est partie pour une heure de douceur et de détente, en premier je masse les filles, ensuite elles me massent.

- Entendre 1000 fois par jours : Mémé Lauche (c'est Môa) qu'est ce qu'on fait maintenant, qu'est ce qu'on mange, à qu'elle heure on y va et j'en passe.

- Lecture dans le canapé extérieur, temps calme pour le reste de la tribu.

- Tournée dans le potager, cueillette des cœurs de bœufs, courgettes, concombres qui finiront dans l'assiette du midi.

- Ballade en moto en tête à tête avec Prince charmant, visite de Montélimar pendant que z'homme est en rendez vous.

- Hammam maison avec grande fille de z'homme, gommage au rassoule, douche gant de crin, bain, massage à l'huile prodigieuse le tout entrecoupés de rire et petites confidences.

Il n'y a aucune photo de ces moments tout doux, ils sont juste gravés dans ma mémoire et rangés dans ma boite petits riens, grands bonheurs.

Elle est pas belle la vie

vendredi 8 juillet 2011

Appelez moi Madame l'Adjudant

Mon entrée dans la tranche des séniors n'a pas arrangé certains côtés de mon doux caractère...
Je râle comme une voleuse dès que je retrouve la cuisine non nettoyé, je déteste par dessus tout avoir à laver les gamelles alors qui est si simple de laver et ranger au fur et à mesure que l'on n'en a plus l'usage.
Idem pour tout les endroits stratégique de la maison tel que les W.C. ou la salle de bain ( j'aime le principe du : tu salis, tu nettoies).
Pour certains cela peut paraitre bien terre à terre, mais chacun ses TOCS et j'assume totalement les miens.
Autre choses que je déteste c'est l'envahissement des jeux vidéo auxquels je préfère et de loin les bons vieux jeux d'antan.

Hors donc pour en revenir au qualificatif d'Adjudant , il m'a été donné récemment pour la simple raison que je refuse d'emporter des jeux vidéos en camping.
Je m'explique plus clairement là je sens que vous ne suivez pas.
Nous recevons les petits enfants et nous les amenons .
Dans les bagages pas questions de jeux vidéos, on part pour respirer loin des ordis, jeux et autres choses qui nous envahissent le quotidien.

J'ai envie de passer du temps à visiter les environs, nous baigner dans les lacs proches, profiter de la piscine enfin vivre tout simplement au rythme des oiseaux, du soleil, et des étoiles.

Nous y allons avec notre propres colonie de vacances 5 4 enfants de 5, 7,10,13 et 51 ans oui je sais parfois les papis sont plus gamins que les gamins.

Voila comment pour un simple NON on se retrouve avec la douce appellation d'ADJUDANT rien à foutre j'assume cela aussi.

Elle est pas belle la vie

jeudi 30 juin 2011

Une bonne journée

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Une photo de nous que j'aime beaucoup et que j'avais envie de partager.

Mon A.P. grandit bien, elle m'étonne parfois par ses manières d'être mi-femme, mi-enfant.

J'aime les moments que nous partageons.

Je l'aime tout simplement

Elle est pas belle la vie

mercredi 22 juin 2011

Potager à la sauce Teigne

Depuis notre arrivée dans la maison je me suis lancée dans la culture de légumes.

Vous pouvez imaginer le nombre de personnes qui ont souri en me voyant faire (comme je suis sympa, je passe sur les commentaires).

Donc en octobre j'ai planté les fèves et l'ail . Première récolte : les fèves, savoureuses, surtout le matin au levé du jour quand le soleil commence à pointer son museau.

Fin avril plantation des tomates (noir de Crimée et cœur de bœuf), courgettes, fraises (trop bon la poignée de fraises le matin), et melons. Là je guette les fleurs et l'apparition des premiers fruits.

Hier récolte de l'ail, petites têtes délicieuses, que je me suis empressée de cuisiner le soir même (du coup les plaisantins plaisantent moins).

Ce soir plantation d'aubergines et de basilic.

Le plus amusant dans cette histoire en fait n'est pas ma phobie actuelle de plantations mais plutôt le fait qu'avant de planter il faut enrichir la terre.

Si il y a 30 ans on m'avait dit que je pataugerai allégrement dans du fumier de cheval et mouton, je peux affirmer que cela aurait bien fait rire la citadine midinette que j'étais à l'époque.

Comme quoi prendre de l'âge à certains avantages, je crains moins le ridicule et les mauvaises odeurs.

Elle est pas belle la vie

vendredi 17 juin 2011

Vieux jupons .....et....Fer à repasser

Mais qu'est-ce-qui m'a pris de sortir mes vieux jupons de grand-mère..?

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Ils étaient bien sagement rangés depuis deux ans et patatras mes mains, ces traitresses, ouvrent la boite, commencent à extirper vieilles chemises et vieux corsages, s'attardent amoureusement sur les jupons.
Horreur, malheur voilà que mes yeux me laissent tomber aussi et s'attardent sur tout ce fatras de vieilles dentelles, découvrent que les pauvres à vivre ainsi cachés, ont jauni et sentent le renfermé.
Mon sang ne fait qu'un tour et n'écoutant que me cœur je les sors direction la machine à laver pour un traitement de choc : le blanchiment à la lessive spéciale blanc de chez blanc (plus blanc tu meurs ) et le rinçage à l'eau de lavande.

Maintenant qu'ils sont bien blancs, je ne vais quand même pas les ranger comme cela, non d'une mouette en chaleur, me voilà contrainte de les repasser. Mais comment faisaient nos grand-mères pour en venir à bout avec leur fer à repasser et pi d'abord le faisaient elles vraiment?
Et pi pourquoi j'aime autant ces foutus vieux morceaux de tissus d'un temps qui n'est plus.

Allez ma fille tu as touché, tu as lavé, tu as étendu, va donc finir ton repassage au lieu de geindre.

Demain, oui demain quand tu porteras celui-ci ou celui-là bien beau, bien blanc, bien amidonné tu seras bien fière de tes œuvres.

Elle est pas belle la vie

PS : j'ai trouvé cette photo sur le net, comme j'ai le même et que la photo est superbe voilà

mercredi 8 juin 2011

Et pourtant

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J'avais fermement décidée de ne rien faire, qu'hier serait un jour comme un autre.

Franchement ou va-t-on si on se met à fêter joyeusement le 4 qui suit le 5.

Et puis de fil en aiguille, des amis sont arrivés pour passer deux jours et je me suis dit : finalement ma poule profites de leur présence, une petite coupe juste pour trinquer.

et je me suis dit aussi : faut pas pousser, tu vas quand même pas oublier fifille de n'amour et son z'amoureux et ton père et ta mère.

Et puis au cours de la journée j'ai rencontrer une telle,... et celui-ci,.... et celle-là .......

Le chiffre a monté, la maison était pleines de rire.

Royale quoi...... tout simplement royale.

Finalement vieillir ce n'est rien quand on a la chance d'être si bien entourée.

Elle est pas belle la vie

lundi 9 mai 2011

Rouge

Les coquelicots....
Le vin....
Le sang...
La vie...
Elle m'a dit : le noir c'est triste comme la mort
C'était hier, avant hier qu'importe....elle n'aimait pas le noir.
En plaisantant un jour elle m'a dit : Le jour de mes obsèques, j'ai envie de couleur, de rire, de champagne...la fête quoi
A midi j'ai pris une douche, je me suis habillée de rouge, j'ai peint ma figure, enfilé mes talons...ceux qui me font une belle jambe.....
Nous avons mangé et j'ai bu un verre de vin à sa santé sans rien dire à personne.
J'ai mis dans mon sac la trinitrine et les mouchoirs en papiers.
Nous avions rendez-vous.
Ensemble nous avons remonté l'allée des mausolées, maman à mon bras....papa pas trop loin avec ceux qui l'accompagnaient vêtus de couleurs tristes de la mort.
Jusqu'au bout j'ai eu envie de croire qu'une fois encore elle nous avait fait une blague....non....elle n'est pas venue...enfin si d'une certaine façon.....
La réalité toute crue...

Hep toi j'ai pas oublié ma promesse...je vais revenir une coupe à la main.....et je te parlerai d'un temps qui ne sera plus que dans ma mémoire et mon cœur.
Je t'aime fort et tu nous manques

samedi 12 mars 2011

Ras le bol

Plus je lis les journaux et plus je trouve que Coluche avait raison :

C'est pas dur la politique comme métier ! Tu fais cinq ans de droit et tout le reste c'est de travers.

Avec ce gouvernement plus tu t'en mets dans les poches et moins t'as de chance d'être jugé et reconnu coupable, comme n'importe quel voleur de poules ,

Tu peux voyager dans des beaux z'avions tout confort et être hébergé dans des palaces voir même selon ton statuts dans de superbes palais gratuitement par un gouvernement ami, enfin ami jusqu'à ce qu'une petite révolution mette le haut là.

Tu as en plus la possibilité de faire de belles affaires et de t'enrichir.

Ta femme ou tes enfants n'ont pas de boulot, zou un petit emploi grassement payé dans un conseil d'administration et le tour est joué

Plus cela va et plus je me demande s'ils ne confondent pas les caisses de l'état avec leur propre coffre fort.

Plus on te demande de faire des efforts, plus eux roulent grand train.

Et toi qui fait partie de la masse laborieuse tu t'aperçois que ton salaire n'augmente pas, par contre le prix du pétrole, du gaz, de l'alimentaire, des mutuelles, des assurances, les impôts, et j'en passe et des meilleurs, lui monte en flèche.

Finalement je préfère ma place j'ai les mains propres,le soir je dors bien et les gens autour de moi ne sont pas là pour me lécher l'arrière train.....

En réalité ce qui m'énerve le plus c'est de voir avec qu'elle dédain et mépris ils nous traitent, comme si nous étions assez stupide de croire que tout va mal à causes des immigrés, que les lois diverses et multiples sur la sécurité aller arranger quoi que ce soit, que leur sondage ne sont que de la manipulation une fois encore pour nous faire peur.

Finalement on veut pas grand chose juste un peu d'égalité à tout les niveaux, c'est pas bien compliqué pourtant :

  • Du travail payer à son juste prix
  • Des soins pour tous
  • S'alimenter normalement sans être obligé de regarder les étiquettes.
  • Pouvoir ce payer des vacances
  • Profiter de sa retraite à un âge décent
  • Un logement aux normes sans le payer la peau du C

..etc..