Vous avez quarante ans, cet âge vous inquiète
Vos premiers cheveux blancs, vos premières lunettes
Vous font douter de vous, vous laissent bien perplexe
Et votre tour de taille vous donne des complexes
Votre épouse taquine ignorant vos tourments
N’a plus dans ses doux yeux cet éblouissement,
Ce regard amoureux qui savait tant vous plaire
Et par enchantement consolait vos colères.
Alors vous fréquentez les salles de gymnastique,
Le rire d'une jeune fille vous rend énigmatique,
Vous recherchez ailleurs des yeux qui vous rassurent,
Votre couple soudain vous semble flétrissure.
Vous jouez les play-boys ou bien les grands seigneurs
Auprès de chaque femme ! La jeune fille en fleur,
L’allumeuse, la timide, la prude ou la perverse
Vous chavirent, bas et jupons vous bouleversent.
Vous chercher un bonheur sans contrat et sans règle
Mais nous savons pourtant combien vous êtes faible
Vous voulez retrouver le cœur de vos vingt ans
Ne rien perdre de vos derniers printemps.
Et moi, pendant ce temps, je vous vois, je vous observe,
Jamais auparavant vous n’aviez tant de verve,
D’un regard ironique et parfois attendri
Je suis vos changements, votre forfanterie.
Pauvre idiot, pauvre fou que l’homme de quarante ans
Qui ne veux pas mûrir sans prendre du bon temps,
Qui peut gâcher sa vie pour de simples chimères
Alors qu’il a besoin des conseils de sa mère
Commentaires
Ben, heureusement que j'ai jamais eus 40 ans! Tchiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Belle nuit Clo Peter
Evidement Peter à 10 ans à vie
heureusement ils ne sont pas tous comme ça
sourire
Dis donc !, tu ne m'aurais pas viré une note? C'est pour pas que l'on fasse le rapprochement entre ...... et Lilou?
Hum!
Non je touche jamais aux commentaires quelqu'ils soient. Par principe, pour moi le blog est un lieu ou chaqu'un dit ce qu'il pense alors je comprend pas.
Un coup du capitaine Crochet?, pas grave, remarque peut être que j'ai pas cliqué sur "envoyer" ;)) Yepiiiiiiiiiiie
Te souviens tu de la mer?
au début tu étais lilas
tu retenais des airs
et le choeur et les las.
Puis lilou embrassée
garda des baisers
et le goût de leur eau
et l'odeur de sa peau.
Puis lilou embrassa,
des étreintes des mots
de l'amour elle garda,
et le gôut et les maux.
Lilou? un bouquet de jasmin,
un baiser d'elle apaise la peur de demain,
et si elle me voue aux feux de l'enfer
lui sourire, l'aimer et lui parler de la mer..
bon alors vous arrivez quand ?
Facettes on arrive, un peu de retard vent contraire.
Jf merci j'apprecie le cadeau que tu viens de me faire. Me permets tu de publier ton poeme sur mon blog tout en gardant ton commentaire.
tu as toutes les permissions bien sûr , c'est un cadeau il t'appartient