Général

Tous les billets que je n'ai pas encore rangés...

Entries list

dimanche 16 mars 2008

Nous nous sommes séparées

Vendredi à 11 heures, notre belle histoire a pris fin sans larme, sans cri, sans parole blessante.

Je l'ai déposé sur le parking, j'ai regardé le paysage instant, et je me suis souvenue de tous les moments merveilleux que nous avions passés ensemble.

Quelques flashs : Notre montée à Paris, les routes de montagnes,la panne d'essence mémorable au milieu de nul part, nos rires.

Bien sûre nous avons traversé aussi de rudes moments et je préfère les oubliés.

J'ai toujours aimé me souvenir que des bons moments, je pense déjà à ma vieillesse et à toutes les jolies histoires que je conterai à mes petits enfants.

J'imagine déjà celle-ci :

Assise dans un fauteuil bien confortable, face à un feu de cheminée, les petits à mes pieds, allongés sur une peau d'ours blanc moelleuse, m'écoutant les yeux brillants de larmes.

Je me souviens, c'est leur histoire préfère, celle du temps ou leur mamie n'avait peur de rien, elle était une femme énergique qui savait prendre des décisions justes, même si son cœur lui pleurait l'absente.

Et à leur tour ils raconteront l'histoire à leurs enfants :

Celle du jour ou leur mamie n'hésita pas à changer sa vieille 205, âgée de 19ans et 400 000 km au compteur pour une flambante ford fiesta diesel avec juste 200000 km au compteur.

Elle est pas belle la vie

vendredi 7 mars 2008

L'un part , l'autre reviens

La vie est chaque jour surprenante, au moment ou l'on se pose des questions sur l'amitié, son sens pour vous et pour les autres, la place qu'elle occupe dans votre vie, les blessures qu'elle vous inflige à votre corps défendant, vous recevez un appel qui remet tout en question.

Un sms pour être plus exacte, un simple petit sms comptant quatre petits mots :

tu me manques bisous

A pas loin de minuit, et en vérifiant le n°, vous vous rendez compte qu'il y a sûrement erreur sur la personne, vous pensez à la douce qui n'aura jamais ce doux message, comme vous êtes dans un bon jour vous y répondez en signalant l'erreur.

Heureuse du petit service rendu vous éteignez la lumière prête à rejoindre Morphée la douce.

La sonnerie sms retentit à nouveau, dans votre petite tête embrumée de sommeil vous pensez :

Et merde va pas me lâcher ce con, je vais lui claquer la gueule.

Vous saisissez le maudit portable, invention du diable entre toute, qui vous gâche un sommeil justement acquis.

Et là vous lisez juste un prénom.

La rage tombe d'un coup d'un seul,il ne reste plus qu'un immense bonheur qui monte, qui monte......un ami est de retour après de longues années de silence..

Comme quoi il ne faut jamais désespérer, quand le lien est solide et vrai pour de bon, l'ami reste un ami.

Cela me donne des ailes pour l'avenir et dans un grand élan d'optimisme me laisse à penser que certaines choses qui semblent grave sur le moment peuvent avec le temps s'effacer

mercredi 27 février 2008

Hier je me suis fais la peau

Comme on dit chez nous :

On est jamais mieux servie que par soit même

Voilà deux mois que je souffre des pieds, et nous savons tous combien il est important d'avoir deux pieds en bonnes états de fonctionnement.

Surtout quand vous passez la journée dessus à faire des milliers de petits pas.

Entre un œil de perdrix ( va savoir pourquoi ils ont donné un si joli nom à un truc aussi moche)d'un côté et un durillon sous la voute planterre de l'autre, que même pas je savais que l'on pouvait avoir ce genre de bidule à cette endroit.

On peut dire que j'ai été vernis, pas moyen de supporter une paire de chaussure, le seule bonheur de la journée rentrer à la maison et enlever les godasses pour qu'enfin je me sente soulager.

Pas bien longtemps à vrai dire puisque très vite mes petits pieds d'amour souffraient du froid.

Pas besoin de vous faire un dessin si je vous affirme que mes jolis escarpins sont restés au placard pour les fêtes, mes pieds quand ils les ont vus se sont mis à hurler de désespoir rien qu'en imaginant la douleurs future.

Je souffre donc le martyre et encore le mot est faible depuis la mi décembre, tout cela avec le sourire, après tout ce sont mes pieds et à chacun son bagne.

J'ai bien imaginé un rendez vous chez monsieur podologue, mais rien que de penser au mal qu'il allait me faire j'ai laissé tomber l'idée et j'ai pris en main mes pieds.

Ben oui aux grands maux, les grandes solutions maison.

Voilà donc environ deux mois que je les fais mijoter un soir sur deux dans de l'eau salée, que je les frotte, que je les gratte et que je les enduis d'une crème grasse à souhait.

Mon œil de perdrix c'est envolé il y a un mois, et hier j'ai eu la peau de mon durillon grosse comme une pièce de 1 ct..

Ce matin c'est le pied léger et l'âme sereine que je suis partie au boulot, appréciant chaque pas sans douleur comme une jeune fille devant sa première robe de bal.

mardi 19 février 2008

Dilemme

pile - face

Blanc - noir

Partir - rester

Avenir - Passé

Corps à corps - corps seul

plein - vide

humour - tristesse

Vie - mort

Aimer - haïre

Positif - négatif

Quel choix faire.......quand on a qu'une vie.......

mardi 29 janvier 2008

Après nous

En ce moment je jette tout ce qui me semble inutile dans ma maison.

Une fois la chose mise en sac, impitoyable il va à la poubelle.

Le décès de ma petite souris m'a plus atteinte que je ne le pensai.

Son décès, non, j'avais envie qu'elle finisse de souffrir, même si elle me manque.

Ce qui me trouble le plus, qui me remue jusqu'au fond des tripes, c'est l'après.

Nous sommes en train de vider sa maison, vider au sens large du terme.

Ma petite souris a accumulé tout au long de sa vie un tas de petites choses :

  • Des dessins de sa fille poubelle
  • Des cartes postales reçus poubelle
  • Des petits meubles poubelle
  • Du linge de maison la plus grande partie poubelle
  • Des bijoux de pacotille poubelle
  • La vaisselle en partie poubelle
  • Electroménager poubelle
  • poubelle, poubelle, poubelle.

On garde un tas de petites choses, souvenirs d'un moment de bonheur, on accumule en pensant: tien cela pourrait bien servir.

On astique pour que les rayons du soleil viennent se refléter dedans.

Pourquoi faire, dans un grand carton on jettera votre vie et poubelle.

D'un trait d'un seul une existence est supprimé.

Je vous vois venir, le matériel n'a pas d'importance, c'est dans le cœur que vit celui qui s'en est allé, je suis d'accord avec vous.

N'empêche, elle si méticuleuse, si désireuse de voir sa maison brillant de tous ses feux, a du ce retourner dans ses cendres en voyant la horde de sauvages envahir sa demeure.

Alors je jette et je donne de mon vivant.

samedi 19 janvier 2008

Une petite souris nous a quittée.

Hier à 12h30, elle s’en est allée, après de longs jours de souffrance .

Je l’ai rencontrée il y a 10 mois, et avoir du monde autour d’elle lui prenait un peu la tête.

La seule chose qui l’a désolée, était l’état d’abandon de son jardin.

Je me suis donc lancée dans une vaste opération de débroussaillage, arrachant à qui mieux mieux les mauvaises herbes qui avaient envahis son jardin et remplissant avec frénésie d’énormes sacs de 130 litres que j’avais parfois du mal à transporter jusqu’au portail.

Au bout de trois mois mes efforts étaient enfin visibles et elle, ravie de revoir ses chers rosiers.

J’ai taillé les lauriers, bougainvilliers, le pied de lavande, des arbustes dont je n’ai jamais pus retenir le nom, les rosiers, refais toutes les cuvettes autour de ceux-ci par soucis d’économie d’eau, ratissé , ramassé les prunes et cerises.

Quand je me suis lancé dans cette opération, mes connaissances en jardinage étaient égales à zéro, elle, bienveillante m’expliquait ce que je devais garder ou ôter.

Au mois de septembre j’ai biné la quasi totalité du jardin, profitant des premières pluies, l’hiver arrivant, j’ai taillé, court, les rosiers et les lauriers.

Elle aimait l’odeur de la terre ainsi retournée, et c’est bien amusé quand je lui racontais ma première rencontre avec un gigantesque vert de terre.

Le froid venant, j’ai passé de plus en plus de temps à l’intérieur, de petits papotages en petits papotages, notre amitié a grandi. Un jour et 33 ans nous séparai, une histoire un peu identique par certain côté, une vie de labeur. Est venue le temps du massage, les mains qu’elle avait toujours froides et sèches à force de les laver, puis le dos, les épaules…

Le mal qui la rongeait de l’intérieur a eu le dernier mot, elle a fini de souffrir.

vendredi 11 janvier 2008

L'année démarre sur les chapeaux de roues

Lilou

merci zub pour la photo

On pourrait penser qu'une fois les fêtes finies, on range trompettes et cotillons bien au chaud dans une armoires où ils attendront bien sagement les fêtes prochaines.

Et bien pas du tout en ce moment j'ai un emploi du temps de ministre et je suis obligée de prendre des notes pour être sure de n'oublier aucune invitation (ce qui m'est d'ailleurs arrivée pas plus tard qu'hier soir) heureuse pour moi que les personnes ont une la bonne idée de m'en faire souvenir, cela leur a évité de sonner à la porte et de la trouver close.

Entre les amis que l'on tient absolument à rencontrer, les réunions de début d'année, le boulot, l'AP, le prince charmant je n'ai plus une minute.

Le temps s'envole et même si je voulait lui courir après, j'aurais du mal à le rattraper.

2008 va être a n'en pas douter une année de course, mais j'ai quand même pris de bonnes résolutions:

1) Aller voir mes copines blogeuses , en priorité mademoiselle Samantdi à qui j'ai promis une visite depuis des lustres, cette fois promis juré que le grand sorcier me réduise en miettes si je ne tiens pas parole.

2) Retourner en Franche Comté avec l'amie Françoise et l'AP à la source des lavoirs qui à vu naitre une belle amitié.

3) Prendre du temps pour moi et donc m'alléger au niveau boulot, (dur, dur).

4) Fêter dignement les 18 ans de l'AP, (déjà 18) comme le temps passe vite, j'ai encore en mémoire le temps des couches et ses années maternelle.......

5) Changer de voiture ( cela dépend du banquier)

6) Retourner à Paris avec ma miss, équipée de rollers ce sera moins fatiguant pour me trainer dans les magasins.

Je vais prendre des vitamines immédiatement, à voir tout ce que je dois faire, je me sens toute fatiguée.!!!

jeudi 27 décembre 2007

La porte : ouverte ou fermée

Grande question en cette fin d'année et presque début de l'autre.

Moi je n'aime pas les portes, dans la plupart des cas je les supprimes. Dans ma maison ainsi ce sont envolées la porte de la cuisine, de la salle à manger, de ma chambre.

J'ai conservé pour l'intimité de ceux qui passent par chez moi la porte des w.c. et par soucis d'intimité pour l'A.P. les portes de la salle de bain et celle de sa chambre(comme cela les jours de grandes rebellions elle peut la claquer à tour de bras).

Non je n'aime pas les portes, c'est pour moi un signe de fermeture aux autres, d'isolement, de solitude.

Il y a aussi les portes symboliques de la communication qui parfois se ferment sur un bouillonnement de colère, de non dit, d'incompréhension, de petits mots larvés et insidieux qui font leur chemin dans l'esprit de celui à qui on les dispense.

Quand la porte de l'esprit ce ferme, il y a quelque part un vide affectif qui s'agrandit et qui laisse la place à la rancœur et à l'auto-destruction, à l'intériorisation des sentiments qui va parfois jusqu'à la haine de soi et des autres.

Ma porte est toujours ouverte, on peux entrer et sortir comme on veux, et si pour certains l'ouvrir avec la main est difficile, on peux la pousser délicatement avec le pied....rire.... et dire :

coucou c'est moi, je passais par là, il fait froid, je suis venu me réchauffer.




pagode

vendredi 21 décembre 2007

Joyeux Noël et Bonne Année

champagne

A vous tous qui passez par ici je vous souhaites de bonnes fêtes de fin d'année.

Que la Père Noël n'oublie aucun soulier, et qu'il vous gâte à tous.

Que l'année 2008 vous soit bénéfique, heureuse, et voit la réalisation de tous vos rêves.



betty champagne

lundi 10 décembre 2007

Week-end de rêve

Samedi soirée antillaise, accras, petits boudins, papote entre amis, rhum, citron vert, sucre roux.

Dimanche le prince charmant délaissant son blanc destroyer décida de faire appelle à son blanc voilier pour m'emporter sur une petite ile(1) de rêve surtout en cette saison ou il n'y a personne.

Bravant la tempête il m'y mena sans encombre, réalisant au péril de sa vie un appontement de virtuose(2).

Là une calèche(3) nous attendait pour nous transporter à l'auberge des glycines seul hôtel ouvert en cette saison.

Le prince charmant sait faire les choses dans les règles de l'art, une chambre charmante avec lit à baldaquin , baignoire pour la détente, soupé fin, champagne, nuit de rêve, rire.... et plus...avec affinité.

Que du bonheur.

Retour ce matin en fin de matinée, crevés mais heureux, nous nous sommes couchés et nous avons dormis comme des biens heureux.

Creux de 2métres le bateau sauté sur les vagues, cela nous a rappelé notre voyage d'il y a deux ans et a réveillé notre envie de recommencer.

(1) Porquerolles, vous connaissez ces iles au large de Hyères, mignon tout plein en cette saison ou il n'y a pas un chat, agréable ce sentiment d'être seule au monde.

(2)en fait de voilier nous avons pris la navette qui dessert ile, imagination quand tu nous tiens

(3)Il n'y avait pas de calèche non plus, mais qu'importe c'est le rêve qui l'emporte

mardi 4 décembre 2007

Ces femmes qui ont traversées ma vie

Si je déroule le tapis rouge de ma vie, je me rends compte qu'à des moments bien particulier une femme y a jouée un rôle important.

La première

m'a donné le jour un beau matin de juin 57, elle est ma mère celle qui m'a élevée, nourrit de son amour, qui m'a fait faire mes premiers pas, qui a subit mes révoltes d'adolescente, qui me tient la main dans les moments difficiles.

La seconde

je l'ai rencontré en 1980, petit bout de femme de 23 ans mon ainée, brune, énergique, qui défendais d'arrache pied les droits de la Femme.
J'attaquais ma formation d'animatrice socio-culturel est cette femme m'a fascinée par sa détermination, sa liberté, son désir frénétique de vivre, son amour des autres, sa perspicacité.

La troisième

c'était ma maman de théâtre, une femme d’exception, une femme engagée, une femme qui n’hésitait pas à aller au fond des choses.
Avec elle, je pouvais être moi, elle savait calmer mon agressivité ou mes colères, elle avait pour moi des mots qui me touchait droit au cœur.
J'aimais sa féminité, son sourire, son regard, sa manière de me prendre dans ses bras, elle ne laissait personne indifférent.

La quatrième

Je l'ai rencontré au sein de la compagnie de théâtre, intelligente, belle, sachant tout faire.
de papotage en papotage nous nous sommes connues et reconnues, chaque rencontre est un moment de pur bonheur.

La cinquième

est proche autant qu'une sœur peu l'être, elle est tout simplement là dans mes joies et mes peines, sa vision de la vie, sa manière d'être, son naturel m'ont toujours fait rêver.

La sixième

je l'ai rencontrée en mars 90, elle m'a sourie en ouvrant ses yeux pour la première fois à la vie.
Elle a fait de moi une maman, je l'ai serrée sur mon cœur que déjà gourmande elle happait mon sein pour sa première tétouillette, elle m'a offert ses premiers mots, ses premiers pas, ses premiers chagrins, ses premières colères, elle m'offre sa première (et je l'espères dernières) crise d'adolescence.


A toutes ses femmes qui m'ont entourées, guidées, aimées chacune à leur façon

Merci

dimanche 18 novembre 2007

week-end tranquille

Enfin pas tant que cela.

Pour une fois depuis longtemps, j'ai pu terminer samedi à midi.

Vous allez vous dire : tien Lilou a gagné deux heures pour rien faire.

Pas du tout à midi j'ai foncé à car-bouf pour faire un mini plein, normal le soir j'ai du monde.

Arrivée à la la maison 4 étages plus tard, chargée comme une mini mule je regarde la montre, "yes , I am the best" allée, retour courses comprisent 1h15, cela me donne le temps d'un café et d'une clope.

4mn 45 plus tard, j'attaque le rangement ménage que je termine haut la main avant 15h30 (c'est cela le métier : l'art de faire vitesse grand V) bon je vous rassure je n'ai pas fait les vitres ni la poussière, tatillonne mais pas maniaque Lilou.

Je me fume une clope le temps que tout sèche et hop arrive dans la cuisine pour faire mes deux marinades.

La 1er saumon, saint jacques découpés en fines lamelles et qui vont tremper dans du soja, gingembre, citron vert, et une larme d'huile d'olive sel poivre.

la seconde jus d'orange, oignon rouge, sel poivre et pardi une larme d'huile d'olive pour du bœuf découpé en petits tronçons

Dans la foulée je prépare le désert un lait coco tapioca banane.

j'envoie une lessive, c'est toujours ça de fait.

J'attaque la cuisson de la viande et là je pleure beaucoup les oignons se vengent t'être émincés.

La viande mitonne, je sors les feuilles de Filo crotte trois fois crottes, c'est des feuilles de brick que je devais prendre tant pi je change mon fusille d'épaule au lieu de portion individuelle, je transforme en portion familiale.

Tien la machine a fini de tourner, j'étends et j'installe a table de fête il est 19h je peux m'en fumer une tranquille.

Ils sont là, après un petit apéro le repas peux commencer.

1h30 la vaisselle est faite,je vais enfin me coucher et j'en profite pour me pelotonner dans les bras du Prince Charmant.

Dimanche 8 heures je sens les effluves du café me chatouiller la narine gauche je suis assez contente j'ai fait ma grasse matinée, douchés, pomponnée il est 9 heures nous partons pour le marché.

10h30 petit café sur le port en feuilletant Charlie et le Canard déchainé, en arrivant à la maison, je range la vaisselle, détends le linge et fait un petit jardinage dans mon pot.

Le Prince Charmant goute au joie de la sieste avant la sieste, je réveille d'un long baiser mon beau aux bois dormant apéro, repas.

C'est mon tour de faire une petite sieste.

14h30 départ pour la fête du livre et l'on enchaine ciné : La chambre des morts trop bien.

19h30 préparation du repas, manger, regarder infos (râler) regarder film (je sais pas quoi au juste?)

23h05 allée hop au lit.

quand je vous avais dit un week-end tranquille, elle est pas belle la vie

mercredi 7 novembre 2007

Visite d'un parisien (2)

suite et fin

Il est bien arrivé, et le Zub l'a bien réceptionné.

J'aurai bien fait la mouche pour assister à la rencontre..... mais difficile de se couper en deux ( ben oui, on est pas tous à la retraite).

Quand l'oiseau est arrivé au nid cela m'a fait un choc, il était tel que je l'avais imaginé en plus pour bien montrer ses opinions il est arrivé avec son superbe tee-shirt rouge (ceux qui le connaisse savent de quoi je cause, pour les autres il faudra aller farfouiller LA)

Il m'a porté en prime et en exclusivité des photos de son voyage et un bel album de musique touaregs (mais comment savait il qu'il allait faire mouche?(tien encore une)).

Bon je ne vous cache que j'étais un tantinet en rogne après moi car je n'ai pas pu lui faire de la vraie cuisine juste quelques fruits de mer qu'il m'a aidé à ouvrir et dont il a dédaigné les coquilles.

De patati en patata la soirée nous a filé entre le doigts comme le vin blanc au fond de nos gosiers (ben la papote ça donne soif).

Nous avons mis le zub à la porte avec les pièces à conviction à mettre à la poubelle, et nous avons été nous coucher ( ben oui, on est pas tous à la retraite).

Le réveil du lendemain fut dur mais joyeux (j'espère n'avoir pas été trop bruyante) c'est sur la pointe des pieds que je suis partie au boulot (ben oui...vous connaissez la suite...je vais pas le répéter...quoique...).

Avec un peu de chance nous verrons les photos de la soirée ICI.

Sincèrement j'ai passé un excellente soirée et notre ami parisien peu revenir quand il veut et pour plus longtemps s'il en a envie.

A bientôt mister Berlioz.

Elle est pas belle la vie

samedi 3 novembre 2007

Visite d'un parisien

Après la venue de nos charmantes bloggeuses Samantdi et Vroumette, le sieur Berlioz vient à son tour goûter aux charmes de notre joli pays.

Le bougre a de la chance il fait un temps de printemps et la petite visite guidée qu'a mis au point l'ami Zub ne pourra que le ravir.

Un fois de plus le zub et votre dévouée servante allons sévir et nous ne reculerons devant aucune barrière pour lui laisser un souvenir impérisable de son étape toulonnaise.

Sa visite sera brève mais je l'espère bonne.

Au menu des festivités :

  • Récupération de notre parisien par Zub à la gare
  • Ballade autour de Toulon en attendant que je finisse de travailler (ben oui, on est pas tous à la retraite)
  • Petit soupé à la maison (je vous dévoilerai plus tard le menu, mais il y aura du bon miam, et du bon glouglou)
  • Grand bavardage garanti
  • pour finir dodo ( ben oui, on est pas tous à la retraite)

J'ai la même impatience de le rencontré que lors des visites de samantdi et vroumette.

Correspont-il à ses écrits?

Berlioz est un voyageur dans l'âme et il nous fait partager sa passion aux travers des photos qu'il ramène de ses périples, il aime aussi jouer avec les mots et il sait aussi ne pas les mâcher lorsque nos amis politiciens se loupent.

Je pense que la rencontre entre les deux compères ne va pas être à piquer avec des vers, je m'en régale d'avance.

Toujours est-il qu'avec le zub nous lui souhaitons un bon voyage et une bonne étape

A lundi monsieur Berlioz

Elle est pas belle la vie

jeudi 4 octobre 2007

Et que la fête continue

Aujourd'hui mon blog à Trois ans, champagne à tout les étages et une coupe à tous mes amis de la toile.

En passant je remercie le prince charmant, sans lui pas de blog (vu que la technique et moi bonjour) je préfère taire la patience qu'il a eu pour m'expliquer encore et encore comment utiliser ce merveilleux joujou.

Un grand merci à la fée en talon aiguille Koz la magicienne.

Des bisous à tous ceux qui sont passés par ici et qui l'ont fait vivre, à ceux qui sont venus me faire un coucou de chair et d'os, au silencieux, enfin à vous tous.

Trois ans et j'étrenne mon DC2, le prince charmant m'a fait un beau cadeau d'anniversaire.

Que le champagne coule à flot.

Poutouilles à vous tous